mardi 27 novembre 2007

Road Trip to Bruges

Puisque Tali ne sait naturellement pas passer tous ses week-ends enfermée dans la Résidence, notre programme officiel indiquait, à la date de ce dimanche 25 novembre, 11 heures, un « road trip » pour une destination qui nous restait à déterminer et qui fut donc Bruges.

A l’heure dite, les gardes du corps vinrent nous chercher et nous voilà partis dans notre grosse BM diplomatique toutes options (ne reste plus qu’à savoir les actionner) et que Tali conduit (non sans quelques surprises) pour la première fois, un garde du corps à l’arrière et flanqués de la voiture suiveuse et son gyrophare. Rapidement, la voiture suiveuse se mue en voiture pilote pour nous ouvrir la route (et surtout nous indiquer le chemin !). Après une petite heure d’autoroute vers le nord, nous voilà arrivés à la gare de Bruges, première étape de notre journée. Aucun souci pour se garer puisque nous nous rendons quasiment au plus près de l’entrée et que nous laissons les deux voitures et un agent en plein milieu d’une zone où le stationnement est interdit.

Dans la grande halle qui jouxte la gare (et qui est réfrigérée pour l’occasion) se tient une exposition de sculptures de glaces. Après avoir pris des tickets (grande question : 2 ou 4 ?.. mais les gardes du corps m’expliquent qu’ils se débrouillent) nous pénétrons dans l’enceinte féerique où nous entreprenons à la fois de visiter et de congeler nos compagnons qui n’avaient évidement pas prévu une telle température. Après cette rapide visite et le tour de l’exposition des centres d’études polaire (dont je pourrais bien vous reparler prochainement …) nous nous rendons alors en centre-ville où nous abandonnons une nouvelle fois les voitures sur une zone de stationnement interdit.

Après quelques moules-frites locales (deux tables pour deux personnes) nous commençons à arpenter les petites rues de Bruges, du cloître de la Maison Beguinale à la Cathédrale en passant par les petits canaux qui font la fierté de cette ville et justifient son qualificatif de petite Venise du Nord, jusqu’à la Grand’Place et sa patinoire.

A l’heure de rentrer, la pluie, qui nous avait épargné jusque là, fait son apparition et c’est sans regret que nous rejoignons les voitures pour nous mettre en route à vive allure, tous gyrophares allumés, vers Bruxelles.

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